Yeti, t'y es!

C'est une chanson mi expressionniste, mi réaliste, presque admirable. Entre guinguette et jazz, l'art et l'atmosphère de Yeti font très cinoche.

(...)C'est chanteuse réaliste que cette Yeti, qui lorgne sur nos artistes populaires d'antan; c'est chanteuse tout aussi expressionniste, qui louche vers Kurt Weill. Par elle, en un vivifiant fond jazz-guinguette, dans un univers excessivement chaud car tendre voire passionné, c'est une galerie de personnages qui s'animent.

L'une après l'autre, des chansons font comme décors. En noir et blanc; les pointes de couleurs étant la tendresse, l'amour et, malgré la poisse, un bien bel optimisme. C'est du Trauner qui emballerait Carné. Du cinoche, oui, de la pellicule sensible qui nous impressionne.(...)Ses chromos si beaux, ses tranches de vie virées sépia, ses décors de bord de canal et de logements petits: elle fera de la scène un vrai film populaire, un classique qu'on applaudira sans réserves. Et d'elle une star. Michel Kemper (Le Progrès de Lyon 08/11/'04)

 

L'adorable Yeti, de son vrai nom Jetty Swart, est pour sa part une attachante parolière et accordéoniste batave, qui a vécu à New York comme designer et musicienne de rue avant de s'installer à Montpellier, d'où elle chante ses histoires biscornues comme les récits de pulp fictions.(Libération, 15/09/'06)

 

(...)Elle se déchaîne, lance des poussées poétiques et vocales dignes de la punk, funk et opéra Nina Hagen. Yeti rappelle le poète troublion venu lui aussi du nord, Dick Annegarn, pour ses mots tendres et nostalgiques, ou bien encore l'humour d'une Catherine Ringer.

L'univers de Yeti est décalé, pourvu d'un paysage personnel imaginaire et fantastique. Elle est survoltée, intelligente et originale.(Accordéon & accordéonistes, sept. '06)

 

(...) la fille cachée de Gérard Blanchard et Nina Hagen. Cette Hollandaise volante venue de Montpellier avec un poisson sur l'épaule, un accordéon en bandoulière et, surtout, du talent plein partout...
Une artiste forte d'une sacre personnalité, d'un texte bien foutu, bien balancé, d'un redoutable sens de l'humour et d'une incontestable originalité servie par une voix sachant s'envoler avec puissance...
(La Nouvelle République des Pyrénées, 19/04/2004)

 

(...) Yeti est plus qu'une chanteuse, c'est une artiste complète qui flirte avec le théâtre, le mime, le clown, sans retenue ni complexe. Elle est drôle, parce qu'elle est nature. Elle vous livre les divagations de son imaginaire en délire sans ambages. (La Dépêche, Ariège, 17/11/2006)

 

(...) Faut dire que Yeti s'y entend comme personne pour manier la langue française avec subtilité. Et dire qu'elle est hollandaise ! Faut dire aussi qu'elle manie tout aussi bien son accordéon, poisson sur épaule et gouaille à portée de micro. (...) Y avait du bonheur à revendre dans ce concert là, de ces moments qui, heureusement, existent encore sur scène. (La Montagne, 06/03/07)

 

(...) Une grande professionnelle qui surprend par son extraordinaire présence sur scène, par sa voix peu commune par sa puissance et la chaleur de son timbre et une charmante pointe d'accent batave. (...)Histoires d'amours fous ou désabusés, histoires d'humour noir ou coloré, poésie des mots pour des textes à surprises, chansons vécues plutôt que chantées. (Midi Libre, 19/03/07)

 

(...) Merci pour cette friandise trois étoiles, ça nous change tellement de ces bonbons acidulés qui nous gâchent le palais et nous ruinent le dentier. Jean de Laguionie (Montpellier Plus, 07/06/07)

 

 

(...)Dans certaines chansons, 'Yeti" déjante complètement, pour le grand plaisir d'un public connaisseur. 'Yeti' fait ce qu'elle veut de sa voix à la remarquable tessiture et plein de nuances, avec la complicité très talentueuse de ses trois compères...(Midi Libre Béziers, 02/08/'04)

 


(...)Elle met le feu au bastingage. Un remède contre la morosité...
(La Gazette de Montpellier, 03/10/'03)

 

(...)Le dynamique quatuor dénommé «Yeti» a offert un spectacle riche par la sagacité des textes et le piquant de leur musique. Sur des rythmes tantôt swinguants, tantôt galopants, ils ont interprété leurs créations originales avec notamment «3 morts», «les cœurs», «Maria». Avec une touche d'ironie, leurs chansons parlent d'amour, d'actualité, des petits tracas du quotidien, de la société, bref de la vie tout simplement.
(La Dépêche du Midi, 13/07/'03)


(...)Des compositions qui déménagent gentiment sans craindre de louvoyer dans des méandres plutôt surréalistes. Sollicité par de nombreuses scènes, ce groupe d'enfer commence à se tailler une belle réputation. Et pour cause... La tonalité est originale, gaie, super dynamique et le tout vaut franchement le détour!
(Midi Libre 11/10/'02)


 

(...)Chansons jazz en quartet, gracieuses, mélodieuses et narratives, orientalisantes et caressantes, servies par une belle voix d’alto dans le ton de l’accordéon, une section rythmique – contrebasse batterie – exemplaire, presque trop peu présente, un rien de saxophone et de percussions. Un univers de conte musical, modeste et pimpant, pondéré et sans ennui !»
(www.radioceros.com)

 

Portée par une voix au timbre sonore, l’interprétation très expressive et théâtrale est agrémentée d’un délicieux accent batave qui donne un piment supplémentaire aux textes réalistes faits de mots percutants ("Maria ", "3 morts ", "Le tireur d'élite "). Sur des rythmes swinguants, le répertoire nous invite à partager les tracas du quotidien ("La clairvoyante ") et les avatars de l'amour ou de la vie à 2 ("Roger", "Le point d'eau ", "Cœurs "). Sans perdre cette douce ironie qui crée un univers toujours décalé et festif, cet "animal" est un véritable remède contre la morosité qui pourrait tenter de nous gagner.
(Chant'essonne déc. 2003)


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